Pays sans extradition

L’extradition (du latin ex – « hors de » et traditio – « transmission », remise d’une personne arrêtée) est une forme de coopération internationale entre États dans la lutte contre la criminalité, consistant en l’arrestation et le rapatriement forcé des citoyens ayant commis un crime dans leur pays d’origine et ayant fui à l’étranger. Cette remise des criminels est effectuée par un État à un autre sur demande de l’État sur le territoire duquel le crime a été commis ou où la personne a été condamnée. Elle s’applique également aux suspects et accusés d’avoir commis un crime, ainsi qu’aux criminels condamnés à une peine privative de liberté. L’extradition implique non seulement le parquet, les tribunaux, la police et d’autres organes chargés de l’application de la loi, mais aussi le Bureau national d’Interpol.

Les accords d’extradition sont des accords officiels entre pays concernant le transfert de personnes recherchées pour des poursuites pénales ou pour l’exécution d’une peine dans le pays requérant.

 

 

Extradition – c’est une forme de coopération internationale entre les États dans le domaine de la lutte contre la criminalité, qui consiste en l’arrestation et la remise par un État à un autre, sur demande, des personnes soupçonnées ou accusées d’avoir commis un crime. En règle générale, ce processus est réalisé sur la base d’un traité international entre les États concernant l’entraide judiciaire en matière pénale. Cela peut être soit un traité bilatéral, soit une convention multilatérale, cependant, l’extradition est possible en l’absence d’une base contractuelle correspondante.

 

Institut de remise des criminels

La place de l’extradition, c’est-à-dire l’institution de la remise des criminels, occupe l’une des positions clés dans le système de l’ordre juridique international. Cela est dû au fait que la justice doit être transfrontalière et s’adapter aux défis de la criminalité moderne, qui très souvent ne reconnaît pas les frontières et touche de nombreuses juridictions. La criminalité organisée de différents pays établit des contacts étroits dans divers États, et très souvent un crime commence dans un pays et se termine dans un autre, en particulier lorsqu’il s’agit de détournement et de blanchiment des revenus obtenus par des moyens criminels. Ou encore des situations où une personne ayant commis un crime dans un pays se cache sur le territoire d’un autre, changeant souvent de lieu de résidence et recevant soutien et assistance. Tout cela rend le problème de l’extradition très pertinent. En même temps, on observe la tendance de nombreux États à ne pas remettre leurs citoyens ayant commis des crimes à l’étranger. D’autres pays, en revanche, remettent volontiers « leurs » citoyens. Cette question relève toujours du domaine politique, ainsi que des particularités des relations entre les pays et des spécificités du crime pour lequel une demande d’extradition a été formulée.

La nature juridique de l’extradition

La compréhension de la nature juridique de l’extradition n’est pas non plus uniforme. Certains chercheurs estiment que l’extradition des criminels est une question purement administrative, car souvent la décision à ce sujet n’est pas prise par un tribunal, mais par le gouvernement ou l’un de ses organes. Par conséquent, on peut attribuer cette institution au droit administratif. En même temps, l’extradition peut être considérée comme un élément du droit procédural pénal, car il s’agit d’une procédure de transfert d’une personne ayant commis un crime à un autre pays avec le respect de certaines garanties procédurales. L’extradition peut également être considérée comme une partie du droit pénal, notamment en tant qu’institution d’exécution des peines.

Système de délivrance

pays sans extradition

La question de l’extradition des criminels est également abordée dans les constitutions de la Russie, de la France, de l’Allemagne, de l’Irlande, de l’Italie, du Portugal et de l’Espagne. En pratique, les questions d’extradition dans les pays européens sont généralement réglées par les organes judiciaires, en particulier par les tribunaux pénaux ordinaires. En même temps, de nombreux pays considèrent qu’il est possible de créer des tribunaux spéciaux pour résoudre les questions d’extradition des criminels. Cela est mentionné dans les actes législatifs et la littérature juridique de l’Autriche, du Danemark, de la France, du Portugal, de la Suisse et de l’Espagne. L’Islande, la Finlande et la Suède n’excluent pas non plus la création de tribunaux spéciaux pour traiter les questions d’extradition.

Brève note historique

À titre de référence historique, il est important de noter que la question de l’extradition des criminels est apparue pour la première fois en lien avec l’expulsion de diplomates ayant commis des actes répréhensibles ou des crimes dans d’autres pays. C’est ainsi qu’est né « l’immunité diplomatique ». Par la suite, le « droit de non-extradition » a été utilisé par ceux qui demandaient l’asile politique dans un autre État après avoir commis un crime punissable selon les lois du pays dont ils fuyaient. Enfin, sous prétexte de convictions politiques, le « droit de non-extradition » a commencé à être utilisé par ceux qui avaient commis des crimes ordinaires. Un fait connu est le refus de la Turquie et des États-Unis d’extrader les terroristes lituaniens qui avaient tué une hôtesse de l’air d’un avion soviétique. En critiquant cet institut, de nombreux chercheurs notent que les accords existants entre États sur l’extradition ne correspondent pas toujours aux pactes relatifs aux droits de l’homme. L’exemple le plus caractéristique d’une telle incohérence concerne les cas où des négociations sur l’extradition ont lieu entre pays, souvent pendant plusieurs années, tandis que le citoyen dont la culpabilité n’a pas encore été prouvée par un tribunal reste en détention pendant tout ce temps. Les dispositions du droit international, généralement acceptées et apparemment tout à fait raisonnables, compliquent dans de tels cas les activités des organes nationaux chargés de faire respecter la loi, contredisent la législation interne et les pactes relatifs aux droits de l’homme. Par conséquent, les accords d’extradition doivent inclure des principes et normes universellement reconnus contenus dans les pactes relatifs aux droits de l’homme, tout en respectant obligatoirement la législation nationale des États. Mais malgré toutes ces difficultés et contradictions, il est évident que dans la lutte contre la criminalité internationale, il est impossible de se passer de l’institut d’extradition.

Conditions de délivrance

L’extradition des criminels est un droit de l’État, mais pas son obligation. Elle ne devient une obligation qu’en présence d’un accord bilatéral d’entraide judiciaire en matière pénale. L’extradition ne peut être effectuée que pour certains crimes – en règle générale, leur liste ou les critères de leur définition sont établis dans l’accord. Traditionnellement, la règle de la « double incrimination » doit être respectée, c’est-à-dire que le crime pour lequel l’extradition est demandée doit être reconnu comme tel par la législation à la fois de la partie requérante et de la partie requise. En même temps, les accords établissent des conditions permettant de refuser l’extradition. Celles-ci incluent principalement des soupçons fondés de l’État requis selon lesquels la personne est poursuivie pour des motifs politiques ou qu’en cas d’extradition, elle pourrait être soumise à des tortures ou à la peine de mort.

Extradition et déportation, transfert et remise – quelle est la différence?

pays sans extradition vers la france

Les termes « extradition » et « déportation » sont souvent comparés, mais ils ne sont pas identiques. L’extradition est le processus par lequel un État remet des individus spécifiques à un autre État afin de les poursuivre pénalement. D’un autre côté, la déportation est l’expulsion forcée de citoyens étrangers ou d’apatrides hors des frontières du pays avec une interdiction de retour pour une durée déterminée ou à vie. La raison de la déportation peut être des infractions à la législation douanière, et la durée de la déportation dépend de la gravité des infractions commises. Il est important de noter que lors d’une déportation, la personne n’est pas remise à un État spécifique, et l’État agit de sa propre initiative, sans requêtes d’autres pays.

Le terme « extradition » provient du mot latin signifiant « remise ». Ces mots sont utilisés comme synonymes pour désigner le processus de transfert des personnes accusées d’actes illégaux d’un pays à un autre. Le terme « extradition » est généralement utilisé dans un contexte juridique, tandis que la plupart des gens utilisent le mot « remise ».

Le terme « transmission » est utilisé pour décrire le processus de transfert d’une personne condamnée, ayant déjà une décision de justice définitive la déclarant pénalement responsable, d’un pays à un autre. Cela peut être lié à l’exécution de la peine ou au transfert du criminel dans le but de mener un procès judiciaire international.

Liste des pays sans extradition

pays sans extradition 2025

Beaucoup se demandent quelles sont les pays qui ne livrent pas les criminels. Il convient de noter la liste des pays où l’institution de l’extradition est absente. Parmi ces pays, on peut distinguer:

  • Royaume du Bhoutan;
  • Îles Salomon;
  • République arabe sahraouie démocratique;
  • Cachemire libre;
  • République du Kosovo;
  • République turque de Chypre du Nord;
  • Îles Cook et Niue;
  • Afghanistan;
  • Algérie;
  • Corée du Nord;
  • Somalie;
  • Syrie.

 

Territoires partiellement reconnus et contestés

Les territoires partiellement reconnus ou contestés ne participent souvent pas à l’extradition, car ils n’ont pas de relations diplomatiques claires. Ces régions incluent:

  • Somaliland;
  • Transnistrie;
  • Chypre du Nord;
  • Sahara occidental.

La position de ces territoires complique l’établissement et l’exécution des accords internationaux, y compris ceux concernant l’extradition.

Pays avec une extradition limitée

Les États avec une extradition limitée, qui ont un haut degré de liberté d’action:

  • Équateur;
  • Cuba;
  • Bolivie;
  • Nicaragua;
  • Islande;
  • Suisse;
  • Venezuela;
  • Zimbabwe.

Bien que ces pays disposent de mécanismes juridiques pour l’extradition, ils préfèrent souvent ne pas procéder à l’extradition pour des raisons politiques, humanitaires ou juridiques.

Cependant, il est important de comprendre que certains pays, comme les États-Unis, possèdent des relations diplomatiques si puissantes avec la majorité des pays que pour eux, obtenir l’autorisation d’extrader des criminels d’un pays où l’extradition est absente ne représente pas un problème sérieux.

Les règles d’extradition dans certains pays

Lors de l’examen question d’extradition Dans certains pays, il convient de prêter attention à l’existence d’un accord bilatéral entre les États. Malgré cela, il arrive que ce fait ne garantit pas l’extradition d’une personne. Dans la plupart des cas, la situation géopolitique et les relations diplomatiques établies entre les pays jouent un rôle important.

Europe

Dans les pays européens, les questions d’extradition sont régies par les conditions établies par l’Union européenne. Des États comme la France, l’Espagne et la Suisse ont des accords d’extradition avec différents pays. Cependant, il existe certaines situations où une personne peut ne pas être extradée, malgré l’existence d’un accord. Ce sont des cas tels que ceux concernant leurs propres citoyens ou pour des raisons humanitaires. Il convient de souligner séparément le Royaume-Uni de Grande-Bretagne. Malgré un grand nombre d’accords avec divers pays sur l’extradition, en pratique, le Royaume-Uni extrade rarement des personnes. Cela est principalement dû à la durée des procédures judiciaires lors de l’examen des affaires d’extradition. Par exemple, la Tchéquie extrade rarement des personnes en raison de violations des droits de l’homme dans le cadre de ce processus.

Amérique du Nord et Amérique du Sud

Les États-Unis d’Amérique et le Canada entretiennent des relations diplomatiques solides dans le domaine de l’extradition. Cependant, entre les États-Unis et Cuba, le Venezuela, il n’existe pas de traités d’extradition, ce qui témoigne d’aspects politiques. Un pays comme l’Équateur, malgré l’existence d’un traité avec les États-Unis, refuse périodiquement de livrer des individus, ce qui montre une interaction complexe entre les États.

Afrique

Certaines pays du continent africain n’ont en principe pas de système juridique clair et structuré. En Somalie, il n’y a pas d’infrastructure judiciaire pour garantir le respect des accords d’extradition. Une situation similaire peut être observée au Mali et au Soudan du Sud, où il n’y a pas de système juridique, sans parler des accords d’extradition.

Asie

En raison de désaccords dans le domaine des droits de l’homme, la Chine n’a pas de traités d’extradition avec les États-Unis et le Royaume-Uni. En ce qui concerne l’Iran, les Émirats Arabes Unis (EAU) et le Qatar, la situation est ambiguë. Par exemple, il existe des traités d’extradition entre les EAU et certains pays. Cependant, l’Iran n’a pas de tels accords avec les États-Unis et le Royaume-Uni en raison des tensions politiques entre ces États. Le Qatar a conclu des traités d’extradition, mais la décision d’extrader des individus dépend de la situation diplomatique.

Crimes nécessitant une extradition

En présence d’un traité d’extradition entre les pays, celui-ci réglemente les infractions pour lesquelles l’extradition des personnes est prévue. Malgré cela, il est précisé, lors de la caractérisation de tels actes, que le transfert de personnes pour des poursuites pénales n’est effectué que pour des infractions qui, selon la loi des deux États, sont punies d’une peine privative de liberté de plus d’un an ou d’une peine plus sévère. De même, l’extradition en vue de l’exécution d’un jugement n’est effectuée que pour des actes qui constituent des infractions pénales selon les lois des deux États et si la personne dont l’extradition est demandée a été condamnée à une peine privative de liberté d’une durée de six mois ou à une peine plus sévère. Si l’infraction est passible de la peine de mort selon les lois de l’État requérant et non selon celles de l’État requis, alors la peine de mort n’est ni prononcée ni exécutée sur le territoire de l’État requérant.

Aux crimes pour lesquels une demande d’extradition est requise, on trouve:

  • crimes contre la sécurité de l’État;
  • crimes de corruption;
  • crimes financiers;
  • actions avec des substances narcotiques;
  • crimes liés à la traite des êtres humains.

Cependant, en pratique, le pays qui a reçu une demande d’extradition peut-être le rejeter, malgré les contrats conclus.

Quels criminels ne sont pas extradés par les pays où l’extradition existe?

En général, les pays ayant une procédure d’extradition ne remettent pas les criminels en présence de certaines conditions, parmi lesquelles figurent les suivantes:

  1. L’infraction pour laquelle l’extradition est demandée est considérée comme politique ou liée à la politique dans le pays requérant.
  2. La demande d’extradition de la personne a été présentée dans le but de poursuivre ou de punir cette personne en raison de sa race, de sa religion, de son appartenance nationale ou de ses convictions politiques, ou la situation de cette personne pourrait s’aggraver pour les raisons mentionnées.
  3. Le criminel est citoyen du pays dans lequel la demande est soumise.
  4. Un crime est considéré comme commis entièrement ou partiellement sur le territoire du pays requérant ou dans un lieu considéré comme son territoire.
  5. Le crime n’est pas un acte punissable pénalement dans le pays requérant ou ne prévoit pas de peine privative de liberté.
  6. Les délais de prescription pour engager des poursuites pénales ou exécuter une condamnation pour le crime faisant l’objet de la demande d’extradition sont expirés conformément à la législation du pays requérant.
  7. Le pays demandeur n’a pas fourni les données nécessaires, sans lesquelles il est impossible de prendre une décision concernant l’extradition.
  8. L’extradition contredit les obligations du pays requérant en vertu des traités internationaux.
  9. La remise est contraire aux intérêts de la sécurité nationale du pays requérant.
  10. La demande d’extradition de la personne provient d’un pays où la personne a été reconnue comme réfugiée, ou la personne a demandé le statut de réfugié.
  11. Les autorités judiciaires du pays requérant ont déjà rendu une décision définitive concernant cette personne en lien avec l’infraction commise pour laquelle l’extradition est demandée. Dans ce cas, le principe de non bis in idem s’applique, interdisant d’engager des poursuites deux fois pour la même infraction.
  12. Il existe une menace de peine de mort, de torture ou d’autres formes de traitement et de châtiment cruels, inhumains ou dégradants.

Les conditions indiquées peuvent varier entre les pays, cependant certaines d’entre elles sont établies par des normes et des traités internationaux qui obligent les participants à respecter certaines règles lors de l’examen des demandes d’extradition. La décision finale concernant l’extradition est examinée au cas par cas en tenant compte de ses particularités et des documents présentés par le pays demandeur.

Procédure d’extradition (remise)

La procédure d’extradition commence par l’envoi d’une demande appropriée par un État à un autre. En général, il est prévu que la demande soit rédigée soit dans la langue de la partie requise, soit dans l’une des langues de communication internationale. Les demandes sont transmises soit par les ministères des affaires étrangères, soit directement par les autorités judiciaires. En cas d’arrestation du présumé criminel dans l’État requis, une procédure judiciaire est engagée. Le rôle du tribunal est de confirmer la légitimité juridique de la demande et le respect de toutes les exigences correspondantes. Si le tribunal rejette la demande, la procédure est arrêtée. Si le tribunal confirme la possibilité d’extradition, la décision est également prise par les organes administratifs.

Tendances modernes

Dans le droit international moderne, on observe une tendance à simplifier la procédure d’extradition. En particulier, il s’agit d’assouplir les exigences de la « double incrimination », de réduire le nombre de motifs de refus d’extradition et de diminuer le rôle des organes administratifs. L’inertie dans l’amélioration de ce processus est due à la réticence des États à reconnaître sans réserve les mandats d’arrêt émis dans d’autres pays, en raison des différences entre les systèmes judiciaires et parfois du manque de confiance mutuelle.

Résumons.

Il est important de noter que la procédure d’extradition revêt à la fois un caractère juridique et politique. Le tribunal ou une autre instance prenant la décision évalue tous les aspects de ce processus, mais très souvent, ces processus sont influencés par la conjoncture politique. Sur le plan juridique, il y a une comparaison des systèmes juridiques des deux États et il est pris en compte si la demande implique une persécution politique de la personne concernée. Ce n’est qu’après une analyse approfondie de tous les aspects qu’une décision est prise concernant l’extradition ou le refus de celle-ci. Bien qu’il existe des pays qui refusent ce processus, tout est en réalité strictement individuel. Même un pays qui ne procède jamais à de telles extraditions peut le faire s’il le juge nécessaire. Cela est souvent lié au principe du maintien de relations diplomatiques amicales entre les pays contractants. Cependant, il est important de prêter attention au fait que pendant que les parties discutent d’une éventuelle extradition, la personne faisant l’objet de ce processus se trouve très probablement en détention. Ainsi, son droit à la liberté est restreint.

FAQ

Quels pays n'extradent pas les criminels vers le Royaume-Uni?
Les pays qui n'ont pas conclu de traité d'extradition avec le Royaume-Uni incluent l'Afghanistan, l'Arménie, la Biélorussie et la Somalie. Cependant, dans chaque cas spécifique, une demande d'extradition peut être envoyée, et la décision de coopérer peut dépendre de la nature du crime et des relations diplomatiques entre les pays.
Dans quel pays n'y a-t-il pas d'extradition?
Il n'existe pas de pays spécifique où le concept d'extradition n'existerait pas; cependant, certains pays ont des accords d'extradition limités avec d'autres États, et certains n'ont conclu aucun de ces accords. Le degré de coopération en matière d'extradition dépend des pays participants et de la nature de leurs relations diplomatiques.
Quels pays n'ont pas de traités d'extradition avec les États-Unis?
Les pays qui n'ont pas de traités d'extradition avec les États-Unis incluent: Azerbaïdjan, Algérie, Angola, Andorre, Arménie, Afghanistan, Bangladesh, Bahreïn, Biélorussie, Bénin, Bhoutan, Botswana, Brunei, Burkina Faso, Burundi, Cambodge, Cameroun, République centrafricaine, Tchad, Îles Comores, Cuba, Chypre, République démocratique du Congo, Djibouti, Guinée équatoriale, Érythrée, Éthiopie, Gabon, Géorgie, Guinée, Guinée-Bissau, Indonésie, Iran, Côte d'Ivoire, Kazakhstan, Kosovo, Koweït, Kirghizistan (Кыргызстан), Laos (Лаос), Liban (Ливан), Libye, Madagascar, Maldives, Mali, Mauritanie, Moldavie, Maroc, Mongolie, Mozambique, Namibie, Népal, Niger, Corée du Nord, Oman, Palestine, République populaire de Chine, Qatar, République de Macédoine, Rwanda, Saint-Martin, Saint-Pierre-et-Miquelon, Arabie saoudite, Sénégal, Glacier Siachen, Vanuatu, Vatican, Vietnam, Yémen, Îles Salomon, Somalie, Soudan, Syrie.
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